Nous avons fait le choix de la campagne, pour sa qualité de vie, certes on y trouve du travail mais souvent totalement in-intéressant et payé au ras des pâquerettes, l’esclavage moderne quoi! Alors le choix est vite fait, les villes sont des pôles économiques incontournables. Mais pour s’y rendre, oubliez les transports en commun, si vous avez la chance d’avoir une gare à 15 kilomètres, il vous faut démarrer la voiture pour y aller, comme elle consomme davantage pendant les 10 premières minutes (soit le temps d’aller à la gare), aucune économie de ce coté, et il vous faudra surtout le double de temps ! Essayez le bus, avec 1 le matin et 1 le soir, vous aurez peut de chance d’être dans le bon créneau horaire avec vos heures de voiture. La voiture est donc incontournable.

Cette baisse de la limitation de vitesse de 90>80km/h, représente tout simplement une perte de 5 minutes par jour par trajet, quand on en fait déjà 45 minutes ! A la fin de la semaine c’est 25 minutes, à la fin de l’année c’est 1 journée supplémentaire passée dans la voiture, que l’on préfère passer en famille !

Ne nous leurrons pas, tous les progrès en matière de sécurité routière viennent des progrès techniques des automobiles et de l’amélioration des aménagements routiers. L’état des routes parlons en, c’est de pire en pire, et pour tous ces virages et carrefours/intersections dangereux, rien n’est fait (ou à une telle vitesse d’escargot), c’est un manquement grave de la part de nos élus, quand on voit le prix de l’essence à la pompe, on à l’impression de remplir l’entonnoir des Shadoks, au lieu de cotiser à l’amélioration de notre réseau.

Autre argument dira-t-on c’est pour baisser la consommation des véhicules, comme nos voitures d’aujourd’hui consomment moins de 5 litres, çà va pas changer grand chose au budget du ménage…il est préférable de faire équiper les voitures d’un réchauffeur électrique de moteur froid pour faire baisser de 20% leur consommation…on se demande pourquoi personne ne rend un tel système obligatoire et qui coûterait trois fois rien.

Et rappelons le, percuter un arbre à 90 ou 80 km/h ne va pas changer grand chose, dans les deux cas vous êtes mort, alors que la solution pour ce cas est bien de mettre en place un rail de sécurité (avec la sécurité pour les motards) le long de nos belles routes bordées d’arbres.

Je vous invite donc à signer la pétition en ligne contre cette très mauvaise mesure :

Afin de répondre à la menace d’une baisse des limitations de vitesse sur l’ensemble des routes françaises, l’association « 40 millions d’automobilistes » mobilise les Français et implique les élus en lançant un site Internet, www.nonalabaissedeslimitationsdevitesse.com, de pétition constructif destiné à interpeller les Parlementaires et le Gouvernement sur le rejet de cette mesure par l’écrasante majorité des automobilistes.

Si vous êtes contre la baisse des limitations de vitesse, signez la pétition et faites passer d’urgence à tous vos proches !

Non à la baisse de limitation de vitesse de nos routes, encore une hérésie politique qui va à l’encontre de la vie à la campagne, à chaque fois qu’une mesure contre l’automobile est prise c’est toujours à l’encontre des automobilistes vivant à la campagne et dont le pouvoir d’achat est chronophagé par chacune de ces mesures…

Le mythe de ce circuit du Mans, est très certainement lié à l’époque ou tout le monde y allait en famille, et qui se transforma en tragédie en 1955, lorsque qu’une voiture finit sa course dans les tribunes, et engendra plusieurs dizaines de morts.

Pour l’épreuve moto, il y a eu aussi ses tragédies, mais surtout en dehors du circuit, plusieurs décès étaient à décompter à l’occasoin de cette fête trop fêtée. Mais comment ne pas oublier ces palettes de bières vendues à même le trottoir, ces packs de bière chargés à même le réservoir de la moto, ces runs en plein centre ville, et ces burns jusque dans des commerces…C’était aussi l’invasion de la piste par les spectateurs, une ou deux heures avant l’échéance des 24h. Tout cela fait partie d’une époque révolue mais qui a contribué à la réputation de l’épreuve, aujourd’hui le spectacle sportif et humain prend le dessus.

Le départ « type Le Mans », les pilotes doivent traverser la piste pour rejoindre leur monture ; ce type de départ s’effectuait également en auto mais seulement jusqu’en 1970 pour raison de sécurité. Aujourd’hui c’est est devenu une référence pour bien d’autres épreuves.

La passerelle Dunlop un monument depuis 1923, la courbe mainte fois changée, porte tout simplement son nom, pour les plus belles photos du circuit, Michelin doit s’en mordre les pneus d’avoir raté un tel créneau de communication.

Quelques chiffres pour l’épreuve 2012 :
- 843 tours effectués
- un écart à l’arrivée de 69 secondes entre le 1er (Kawa France) et le 2ème le (Suzuki France), donc moins d’un tour
- record distance parcourue 3532 kms, lié à d’excellentes conditions météo
- 1’38.562 pour le meilleur tour par l’équipe TT LEGENDS (les pilotes références du Tourist Trophy)
- 72% de fiabilité, près de 3 motos sur 4 arrivent au bout des 24h

Inutile de faire le zouave, la chute étant quasi éliminatoire du top 10, autant assurer en doublant son adversaire au prochain tour, bien des pilotes l’oublient pris dans l’effervescence de l’épreuve, on a en mémoire le départ du bol d’or de 2006?, en tentant un wheeling, un pilote fit un beau salto au 1er tour en attaquant la ligne droite des stands, de quoi anéantir tout le moral d’une équipe !

Mais les encarts sont de plus en plus serrés, un ravitaillement en plus et la victoire peut vous échapper. Le départ est digne de celui d’un grand prix, professionnalisme est de rigueur.

Dans ces équipes on trouve souvent des bénévoles, qui après leur boulot en semaine ne lésinent pas à préparer la mécanique, comme Franck qui fit sa première course de 24h …en Solex à Nouziers, la petite école avant d’arriver dans ce championnat du monde d’endurance.

Les Protos

Après les motos usine, et les stockSport (la moto de Mr Toutlemonde), on a toujours la catégorie des inclassables, les protos.

En 2012, un proto attire mon attention, #45 METIS JLC MOTO, qui présente une technologie de suspensions avant en double triangle, assez proche de l’automobile, préparée par l’atelier Reflex de Yves Kerlo à Chartres (Morancez), une référence mondiale des préparations en sports mécaniques.

On n’oubliera jamais, en 1991 c’est leur moto, en association avec la concession chartraine La Motocyclette de Patrick Vallet qui remporte les 24h Moto, avec l’équipage Philippe Monneret, Rachel Nicotte et Bruno Bonhuil, Bruno avec qui j’avais profité d’un repas avec lui au cours d’un stage et qui nous quitta avec sa passion quelques semaines plus tard. Des privés qui remportent l’épreuve, on n’est pas prêt de revoir çà !

La METIS pointera à la 6ème place, pour rendre l’âme au petit jour, bielle cassée.

Spectacle

Le spectacle est sur la piste, mais que dire des camps des spectateurs.

Les spectateurs aux environs de 70/80000, viennent des quatre coins de France, d’Europe et du Monde. Ils viennent non plus supporter une marque, mais une équipe, c’est l’occasion pour chacun de supporter la moto engagée par le team ou concession de sa région.

Aux abords du circuit, les camping, enfin ce qui y ressemble car plutôt avec le calme en moins. C’est un peu à celui qui fera le plus de bruit pour empêcher les pilotes (ou plutôt les voisins) de dormir. Poser votre tente dans un coin tranquille, pensez vous, une heure après vous être endormi (ou avoir tenté de vous endormir), tard dans la nuit, y en a toujours un pour vous remettre d’aplomb, à coup d’échappement et ruptures moteurs à moins d’un mètre de votre sac de couchage, plein de poésie. On ajoute des runs sauvages, des tas de palettes à brûler, des andouillettes, des rillettes du Mans, de la bière, et çà attire tous les motards.

A présent le circuit accueille tout type de course de 24h, auto, auto classic, moto, camion, roller, vélos …bien évidemment c’est le rêve du motard d’aller rouler sur ce circuit, des sessions ont lieu une fois par mois, le Lundi, de quoi tenter l’expérience, après vous ne voyez plus la route de la même manière. Plus sagement, on peut également devenir bénévole pour l’ACO, et vous aurez l’occasion de vivre la course de l’intérieur.

Pour le prix d’une bonne tente, j’ai acquis en occasion une caravane pliante rapido, je suis allé la chercher à Elbeuf. Pour moins de 500kgs (donc simple permis B), c’est une formalité à tirer derrière la cti.

Historique

« Quelques jours avant son départ en vacances, M.Constant ROUSSEAU construit pour son usage personnel une remorque extensible avec toit rigide sur laquelle il pose un entoilage. Cette première caravane extensible toile ayant eu un tel succès sur les terrains de camping, que quelques commandes sont enregistrées. La marque RAPIDO est née. » dixit le site de Rapido.fr

Notre Rapido

En bois

C’est une version avec panneaux de bois apparants, plus kitch, plus rare aussi.

Voici la face arrière tout est d’origine, avec sa porte arrière démontable.

Les tissus et mousses sont en parfait état. Les motifs ne sont pas des grosses fleurs comme le présage les années 70,
car il s’agit de tissu de la fin des années 60, les grosses fleurs feront leur apparition quelques années plus tard.

Les panneaux de bois sont parfois abimés, un petit trou sur le vernis et l’eau s’infiltre ; donc je retire le vernis endommagé, et je
réapplique un vernis marine. Reste à polir avec une pommade, et un polish d’entretien.

Quelques travaux de restauration

Tout est en alu ou bois, sauf le chassis et les vis. Pas joli-joli ces vis rouillées, quand elles
ont pris l’humidité, elles ressemblent plus à des clous, tant leur pas de vis a été rongé par la rouille.

Voici les vis remplacées par des vis inox diamètre 2.9 que j’ai pu me procurer chez Mistral Diffusion (http://www.Bricolage-Accastillage.com).
Je les recommande, ils sont très aimables, et serviables. Je monte ces vis en insérant de la patte à bois dans les trous.

Et le chassis est en métal, il a fallu gratter, nettoyer, passer un coup de rustol pour traiter la rouille.

Puis avec une couche d’aprêt anti-rouille. Cela n’a pas toujours été facile de peindre dessous, car
pas question de retourner la caisse, les enfants veulent profiter de la caravane maintenant.

Pour les roues, il est préférable de changer les pneus je passe du 400*10 au 500*10.
Même traitement pour les jantes, ponçage, rustol, aprêt anti-rouille et peinture blanche.

Je monte les pneus avec une fine couche de silicone à l’intérieur du flanc et de la valve pour éviter l’humidité.
Pression 2.5 bar.

Coffre ou pas coffre ?

Le coffre de fleche est en piteux état, des cotés ont été remplacée par un agglo très lourd et friable,
le frigo a disparu (dommage, faudra en trouver un autre).

Un nouveau coffre était en projet, mais je n’utilise pas de frigo (on a une glacière cela nous suffit pour les vacances),
par contre ce qui est beaucoup plus indispensable pour nous ce sont les vélos, j’ai réussi à les installer sur la flèche.
Contrairement à la galerie, c’est plus pratique car je peux déplier la caravane sans les retirer, et ils ne prennent pas le
vent en roulant.

Comme je n’ai plus de coffre de flèche, j’ai besoin d’un peu de place pour ranger les morceaux de bois pour caler la caravane,
et qulques outils, me vient alors l’idée de faire un coffre sous la caravane à l’arrière (hauteur=15, largeur=85, profondeur=105),
et voilà le résultat, et je peux y ranger bien plus d’affaires qu’escompté.

Pour reculer

Ma caravane est dépourvue de blocage du frein pour la marche arrière ; on parvient tout de même à reculer
sur le plat, mais dès que le terrain est en montée ou trop sableux, la marche arrière prend des allures de combat
car le frein immobilise la caravane. Pour y remédier je me suis construit une patte de blocage du frein (en rouge).

Il suffit de mettre en place la calle avant de faire la marche arrière, un petit élastique de camping pour la
maintenir, et on peut reculer facilement le frein ne pouvant plus s’enclencher. Il faut penser à enlever la calle
pour reprendre la route.

Intérieur

Le petit coin cuisine, comme dans toutes les confort, avec le camping gaz d’époque, il manque le robinet, je pense le commander chez Rapido.

Le coin des enfants, avec le hamac et nous avons rajouté une moustiquaire cela leur fait comme un
toit et une séparation (en plus d’arrêter les moustiques).

Voici le placard à vaisselle, avec les assiettes, et bols d’origine, manque les verres, nous en avons trouvé
chez Casa qui font l’affaire, également les doudous y on établit un logement provisoire.

Nous avons étrenné notre première nuit alors qu’il a plu énormément (la brouette s’est remplie),

ce petit bout de ficelle (qui maintient le coté lors du pliage) est devenu un goutte à goutte, un peu de silicone
suffit pour corriger. A part cela aucune infiltration d’eau.

Cette petite pièce en contre plaqué est une réussite, qui exploite à merveille les propriétés de cet
assemblage de bois, à savoir flexibilité et solidité, car elle sert au verrouillage du toit.

Il manquait un peu de place pour ranger les sacs et vêtements, alors j’ai rajouté des fixations
pour utiliser le canapé en étagères à la place du hamac et au dessus, le hamac est alors avancé.
Autre avantage, on peut faire dormir un 4eme enfant.
Enfin il sera plus aisé d’attacher la moustiquaire gràce à l’étagère du haut.

03/70 est la date qui figure sur le chassis de l’attelage, pas toute jeune (voir même année car caravane produite après le chassis),
elle a surtout le même âge que moi. Moins de 500kgs donc pas de permis ou d’assurance complémentaire pour tracter.

Ouverture latérale

C’est bien la seule caravane sur laquelle on peut ouvrir le coté, à quoi cela sert, simplement à
ventiler quand il a fait trop humide ou quand il fait trop chaud, c’est vraiment sympa.

Voilà le coté ouvert, qui permet ici de faire sècher rapidement les duvets et mousses légèrement humides.

Pour maintenir le coté, 2 piquets en alu suffisent, il manque la joue d’aile…un peu de couture en perspective.

Attelage

La caravane a été pliée (en un petit quart d’heure), le plus long c’est finallement de ranger les
affaires dans les coffres. Il existe aussi le modèle confortmatic qui intègre un système de ressort qui facilitera le dépliage.

Pour libérer les coffres intérieur, sur le dessus je range les matelas du coin repas
(à l’intérieur d’une bache) et on protège le tout avec la bache bleue.

J’ai monté une paire de raidissseurs de marque Tunessi, agrément de conduite et freinage et surtout
anti-louvoiement. Du coup le coffre de flèche était vraiment trop large, mais pour les vélos cela passe.

Et voilà l’ensemble attelé à la cti, le 1900cm3 ne se fatigue pas à tirer une si petite caravane.

Un peu de documentation

Voici quelques docs que l’on peut glanner sur internet, en remerciant les personnes qui les ont collectées et scannées
, je me permet de les mettre à disposition au plus grand nombre de personnes :

Notice de montage

Brochure commerciale des années 70

Brochure commerciale années 80

Brochure commerciale version allemande des années 80

Plan pour auto-construction de la galerie porte vélo

Plan pour le chariot de remisage

Notice de montage stabilisateurs Tunesi

Guide de l’utilisateur version allemande, années 70

Montage auvent type Bretagne, fin années 60

Montage à l’extérieur du meuble cuisine, fin années 60

Plan du chariot de remisage

Tarifs en allemand

Schéma électrique

Conclusion

On passe de la tente igloo 3 personnes à cette caravane, on gagne en espace et étanchéité.

Pour les grandes occasions, elle sert à présent de cinquième pièce de la maison, pour loger du monde à dormir.
Mais aussi y prendre un repas au mois de mai alors qu’il fait soleil par un vent frisquet, on est dehors mais à
l’abri, ce sont les vacances avant l’heure.

Pour les vacances 2006, nous avons passé 2 semaines au camping au bord de la mer, et c’est le grand « confort »
par rapport à la tente.

Découvrons ici des voitures du passé, je préfère celles qui roulent encore dans leur jus
(une fois restaurée c’est moins intéressant), et j’affectionne celles qui finissent
leur vie au fond d’une cour ou d’une grange.

Elles roulent toujours

Une « ori » se dit d’une voiture qui a conservé son immatriculation initiale (c’est le plus grand charme d’une ancienne avec la peinture passée et des points de rouille), comme cette GS

rappelez vous du volant simple branche de la citroen GS, plus tard les compteurs seront un cylindre rotatif

en plus c’est un break, notez l’autocollant « contrôle électronique citroen » sur la lunette arrière.

Une citroen ID qui était à vendre à coté de chez nous, la caisse était en bon état mais n’ayant pas la boite auto de la DS, je n’ai pas souhaité en faire l’acquisition.

Dans son jus cette cox, les ailes cabossées comme il se doit, avec quelques éléments chromés, dire qu’un allemand voulait m’échanger la sienne (rouge également) contre ma 205, vu le confort qu’il y a dedans je le comprends.

Pour aller au boulot une petite R5 des années 70 (avec intérieur rouge), que demande le peuple, dénichée dans un parking à Paris (d’ailleurs les parkings parisiens sont truffés de vielles voitures en bon état de conservation).

Pour appartea une 807 décorée aux couleurs de la fête de la lumière de la ville de Chartres.

Une 2 chevaux fourgonnette, avec la formidable immatriculation QQ 28.

Une renault 15 (à moins que cela ne soit une 17 je n’ai jamais su les différencier comme toute la population francaise), en très bon état utilisée par des retraités.

Une Renault 5 qu’un ami a acheté 600e, elle est de 78, très propre quelques points de rouille lié à des éclats de peinture par les cailloux.

et voici l’intérieur de cette r5 blanche, tout en noir, bien sympa, le toit est en chanvre tressé (ou quelques chose comme cela), et le kilomètrage est de 48158kms !

Lors d’une promenade dans la Sarthe, nous rencontrons cette Citroen Ami 8 break du Loir et Cher, appartenant à un collectionneur, mais elle est dans son jus.

Une Renault Fuego, avec le kit carrosserie, les plaques à gos chiffres, tout une époque dans cette voiture moderne.

Magnifique cette DS (qui est sortie pour une promenade dominicale), d’ailleurs c’est plutot une ID cette « D super », mais en robe noire elle s’embourgeoise.

Camionette Citroën type H (et non pas tube, le tube c’était la version d’avant) sur une brocante du coté de Nogent le rotrou, immatriculée en origine.

Toujours garée à cet endroit, sur la route de la Bourgogne, une estafette dans son jus rend encore quelques services ;
j’ai en souvenir la chaine de « sécurité » qui permettait de rouler la porte ouverte (pratique pour les livreurs).

Au pays catalan

Cette vielle Aronde (merci JM) devrait finir sa vie ici, dire qu’elle roulait en 1994 (vignette sur le pare brise), elle a commencée à être restaurée mais elle est à son apogée.

Une mehari, rien d’exceptionnel, mais bien d’origine elle est surtout immatriculée en Origine « JX 66″.

Une deuche, mais avec des pneus clous, de quoi laisser sur place n’importe quel 4*4 par temps de neige, et immatriculée en « QQ ».

Une rescapée, c’est une AX 4*4, comme dit mon voisin, il y en a eu 5 de construites, dont 2 sont sur le site d’essai de PSA, voici la troisième, reste à trouver les 2 dernières.

Une 4L, la même que mon père, il en a eu aussi une bleu ciel, puis une beige.

Et une 4L pickup, pas courant non plus de nos jours.

Au temps des combi volkswagen, Ford aussi avait le sien, c’est le modele Taunus, mais il n’est pas en bon état.

Une jeep wyllis, mais immatriculée en Origine « AV 66″, donc quelques temps après la fin de seconde guerre mondiale, elle est très propre.

La 504 pigot des familles nombreuses, une 7 places, je l’ai trouvée en Andorre celle là.

Elles font un rallye routier

Ce n’est pas moi qui les aient cherchées, elles sont venues à moi, elles sont passées juste devant la maison à l’occasion d’un rallye,
ce sont tous des hollandais, toutes nos vielles voitures partent chez eux !

Une peugeot 404

une porsche machin trucmuche

une alpha qui fait du bruit

ca je sais c’est une austin mini, disons que c’est une cooper (encore un modèle qui m’a fait rêver).

une typiquement anglaise

En fin de vie

Une goellete Renault en etat de décomposition au fond d’un jardin d’un ancien artisan, à Chartres lieu dit de la croix Bonnard

Une casse

Peu avant Bar sur Seine, on aperçoit quelques autos du bord de la route, il s’agit en fait d’une casse auto qui remonte le temps…

une bonne vingtaine de voitures alignées dans ce pré…

de l’autre coté de la route ce sont plusieures dizaines qui s’alignent, il y en a à perte de vue…cette casse est géante

on y trouve de tout autos, camions, camionettes, parfois empilées…

le temps c’est arrêté ici pour elles, mieux qu’un vrai musée.