La petite faune de par chez nous
Ces petits animaux vivent au plus près de nous, en cohabitation, mais toujours
à l’écart.
Dans notre jardin
A chaque Printemps elles reviennent nicher dans notre grange, il nous a fallu faire une ouverture dans la porte pour
héberger les hirondelles, voici les naissances 2006.
Bien blottient dans leur nid, comme des soldats dans une guérite, les jeunes hirondelles attendent leurs insectes, avant le
grand départ.
Chaque Printemps, c’est avec impatiente que nous les attendons, leur chant mélodieux qui annonce les beaux jours, leur
vol acrobatique et leurs incessants allez-venus, nous réjouissent à chaque instant.
D’une vivacité à tout égard, la belle mésange bleue, niche dans notre jardin depuis que nous lui avons construit un nichoir
rien que pour elle (diamètre du trou 28mm), et nous fait profiter de son chant.
Plus grosse que la mésange bleue, la mésange charbonnière est territoriale, mais dans notre jardin elles parviennent toutes deux à cohabiter.
Et le rouge gorge se plait également bien chez nous.
La rivère à coté de chez nous, profite à une nichée de canards sauvages, on les trouve souvent sur la route, quand ils ne
viennent pas frapper à la porte de la maison pour réclamer un peu de pain.
Bien que ce ne soit pas un animal sauvage, notre oie fait partie de notre jardin, végétarienne c’est une tondeuse économique,
et devra sa longévité (jusque 25 ans) à son alimentation.
Escargot « petit gris » (bien qu’il soit marron), en tout cas cette année 2007 fut tellement pluvieuse que j’en ai cuit
une centaine. La cuisine des escargots est simple : les nourrir une semaine à la farine (pour les purger), le jour de la cuisson venu,
les réveiller en les aspergeant d’une poignée de gros sel et de de vinaigre (pendant 5 minutes), ils bavent alors les rincer,
les mettre dans le faitout avec le bouquet garni, et les faire cuire 10 minutes avant de les décortiquer, ensuite cuisson 45minutes
dans le fond du bouillon de la première cuisson.
Le crapaud du jardin, qu’il n’est pas toujours facile à trouver, en tout cas il est bien paisible.
En hiver, une famille pinson apprécie notre jardin.
Alors qu’il neige, un merle combat l’hiver sur le prunier au fond du jardin.
Il est tout petit, tout rond, (sur la branche de framboisier devant le manège à chevaux), le troglodyte affectionne notre jardin.
Avec une fenêtre entre ouverte, la famille rouge-queue a élu domicile sur la poutre du salon, voici le nid rempli d’oisillons, qui nous réveillait matinalement par leur chant.
Sur le qui vive un muscardin a élu domicile dans un creux du mur devant la fenetre de la cuisine.
Au printemps, les hirondelles de fenêtre qui récoltent de l’argile pour reconstruire ou rénover leur nid.
En beauce
Une volée de perdrix qui se promène dans le champ, on peine à les distinguer tant leur plumage les mimétisent.
En bourgogne
Il se fait dorer au soleil, le lezard, nous n’en avons pas (encore) chez nous.